Voici une pièce « nocturne », à la respiration lente, où silences et suspensions de temps ont toute leur importante. Organisée en quatre variations, la flûte y enchaîne un motif qui subit différentes polarisations, enrobée d’effets multiples rappelant les bruits de la vie nocturne Le piano habille le tout dans des « vapeurs sonores » ; le mouvement s’accélère progressivement jusqu’à amener vers un réveil final.
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