Cette mélodie est composée sur le célèbre sonnet éponyme de Théodore de Banville.
Elle est proposée dans le ton original, pour mezzo-soprano, et dans une transposition pour soprano. Cette mélodie ne ne requiert aucune virtuosité vocale ; le piano reste très discret, avec une écriture faite presque uniquement de motifs fluides, parallèles aux deux mains.
Commencée en 1950 alors que le compositeur est très malade, l’œuvre est restée inachevée et a dû être complétée.
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