Inspiré du récit autobiographique de Taym Albarazi, « D’une seule aile » chante et danse l’exil. Né du dialogue et des cultures de ses auteurs, ce poème symphonique interroge le drame des hommes, crée un ouvrage qui souhaite simplement transformer la terre en rituel d’amour contre la défaite et la mort. Que ce soit pour fuir la guerre, la misère, la famine, la sécheresse, l’exil fut, est et sera de tous les temps consubstantiel à toute l’humanité pour son malheur. Musique, récit, danse, images se retrouvent intimement mêlées, fusionnant afin de rappeler que l’innommable n’est pas forcément inéluctable.
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