L’œuvre est en quatre mouvements qui peuvent être joués indépendamment, passant d’une ambiance pleine de vivacité rythmique, à quelques allusions à la musique klezmer, une méditation très contemplative et des clins d’œil aux musiques actuelles. Le compositeur espère qu’à l’écoute de Vertigo, le « vertige » né du télescopage de plusieurs ambiances, toutes hantées par une pulsation omniprésente, soit ressenti.
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